Ce décret de 1986 avait au moins le mérite de fixer un minimum de réglementation pour le « vivre ensemble » et préserver la biodiversité du site. Seulement, il avait été imposé aux nombreux usagers et aux élus locaux sans concertation véritable et en faisant cadeau d’une île ancestrale à un seul gestionnaire associatif (SEPANSO) par délégation de l’Etat socialiste de l’époque.